Je (suis une) peste à Budapest

Cet article est placé sous le haut patronage d’Edith Piaf (dont j’ai les chansons en tête grâce à mon voisin portugais qui écoute la radio à fond, ce qui m’oblige à faire des jeux de mots foireux pour exorciser) et sponsorisé par l’amicale Bon Appétit Bien Sûr. A vos risques et périls…